Marion
Lassalle-Astis
Responsable de mission – l’Optimiste Rennes
« Quand l’appétit va, tout va ! »
Portrait
- Si tu avais un super-pouvoir, ce serait ? La Téléportation
- Quel est ton talent caché ? Championne régionale de lancer d’agrafeuse
- Ton film culte ? The holiday
- Tes hobbies/passions ? Voyager et aller au restaurant ( Nickel en période covid !)
- Ton objet favori/porte-bonheur ? Ma magnifique trancheuse à jambon
- Si tu partais sur une île déserte, tu emmènerais…? Sans hésiter : le four micro-onde du film du cinquième élément
Expériences et formations
-
Depuis 2016 : Collaboratrice comptable – L’Optimiste Rennes
-
2013-2016 : Collaboratrice comptable et auditrice – SAGEC
- 2010-2014 : Auditrice – L2P Audit
- 2008 : Obtention du Master CCA à l’Université de Nantes
L’interview
Quel est ton parcours en quelques mots ?
Originaire de Bordeaux, j’ai fait une seconde générale avec option technique des systèmes automatisés pour travailler dans la mécanique. Finalement, je me suis orientée vers un bac ES, un peu par hasard, puis vers un BTS comptabilité & gestion pour m’assurer de trouver un job à la sortie.
J’ai continué sur un Diplôme de Comptabilité Universitaire en 2 ans à Nantes qui donnait un niveau bac+4 à l’époque. Sans grande surprise, j’ai choisi de faire mes stages dans des concessions automobiles chez Renault puis chez BMW où j’ai remplacé le DAF pendant un congé maladie : un beau challenge pour moi qui étais toujours étudiante ! Je m’occupais essentiellement de la gestion de trésorerie et de la comptabilité des holding du groupe. Je n’étais pas seule évidemment, nous échangions régulièrement au téléphone avec le DAF.
En plein dans la réforme Licence Master Doctorat (LMD) : j’ai eu la possibilité d’intégrer un M2 CCA après mon DCU sur concours et ma candidature a été retenue ! Et dire que je comptais m’arrêter au bac+2 à l’origine… Le master CCA me donnait un bon nombre de dispenses du DSCG mais il fallait passer l’épreuve de comptabilité et de droit (à l’époque, c’était une seule et même matière). Je l’ai passée mais j’ai obtenu 9,5 au lieu de 10… J’ai obtenu l’épreuve de comptabilité après la réforme mais jamais celle de droit.
Devenir expert-comptable m’a traversé l’esprit mais j’ai l’impression que c’est beaucoup d’engagement et de responsabilités envers ses clients et ses salariés. Je préfère mon poste actuel de cheffe de mission. Je trouve que le métier d’expert-comptable ne permet pas, à l’heure actuelle, un réel équilibre vie pro / vie perso.
Pour mon stage de fin d’études, j’ai décidé d’intégrer un cabinet d’expertise comptable à Brest dans lequel je suis restée pendant 3 ans en tant que collaboratrice comptable. Ensuite, j’ai atterri à Rennes dans un cabinet d’audit, principalement dans le secteur de la grande distribution. J’ai adoré le travail en équipe et les déplacements chez les clients.
En mal de mon pays, j’ai décidé de retourner sur Bordeaux pendant 2 ans avant de revenir en Bretagne pour me rapprocher de mon conjoint ! C’est là que tout a commencé chez l’Optimiste…
Comment as-tu connu l’Optimiste ?
Très simplement, j’ai déposé mon CV sur le site de l’Ordre des Experts-Comptables et j’ai été contactée par Ivan Quenardel, le fondateur de l’Optimiste. J’étais la toute première salariée, il n’avait ni locaux ni clients ! On a passé l’entretien dans la Brasserie de la Paix, place de la République à Rennes.
Cet entretien ne ressemblait pas du tout aux autres qui m’avaient habituée à des tests techniques… Tout a été très vite, une histoire de feeling, au bout de 5 minutes de conversation il me dit « c’est ok pour moi, tu as 10 ans d’expérience en comptabilité… je ne vais pas te faire passer de tests techniques » et il avait raison.
Qu’est-ce qui t’a surpris ?
Comme vous l’avez remarqué, j’ai travaillé dans plusieurs cabinets, avec plusieurs experts-comptables et autant de styles de management. Ce qui m’a surpris c’est la confiance accordée par Ivan dès le début (en même temps, on était seulement 2 !) et le côté humain.
Au tout début de mon contrat, j’ai appris que j’étais enceinte, ce qui n’était a priori pas compatible avec le poste puisqu’Ivan recherchait quelqu’un pour s’occuper de la production à plein temps. En tant que chef d’entreprise, il a eu une réaction qui m’a beaucoup touchée « c’est une très bonne nouvelle » et a souhaité que je continue l’aventure.
Dans mes précédentes expériences, je me suis vue systématiquement refusée les augmentations de salaire donc je pensais que c’était la norme. Ici on peut en parler librement et les obtenir (si c’est justifié bien sûr !).
Quelles sont tes missions au quotidien ?
Je suis cheffe de mission, responsable d’une équipe de 4 personnes dont Djabir (collaborateur comptable), Sonia et Pauline (apprenties).
Au quotidien, je réponds aux questions existentielles des clients (et il y en a beaucoup…) et bien sûr je m’occupe des déclarations fiscales, des tableaux de bord mensuels, de la révision des dossiers, des rendez-vous bilan…
Qu’est-ce que tu préfères dans ton job ?
Qui dit questions existentielles dit réponses existentielles… On ne s’ennuie jamais, on a toujours des nouvelles problématiques et parfois il faut arbitrer. Mon portefeuille est composé en majorité de TPE et de clients particuliers qui ne sont pas toujours familiers avec le jargon comptable… Il y a un gros travail de vulgarisation à faire mais j’adore ça !
Qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Paradoxalement, je déteste les échéances fiscales ! On met les comptes à jour chaque mois pour sortir des tableaux de bord mensuels, avec une comparaison budget vs réalisé. Evidemment, les échéances font partie du job mais la comptabilité n’est finalement qu’un outil pour permettre au dirigeant de piloter son activité… Ça donne tellement plus de sens au métier plutôt que « faire des échéances pour remplir des obligations administratives ».
Les clients sont de plus en plus exigeants, ils veulent une réponse instantanée et il arrive qu’ils soient de mauvaise foi… Mais, heureusement, ils ne sont pas tous comme ça !
As-tu une anecdote avec un client à nous raconter ?
Quand je travaillais dans le cabinet à Brest, un artisan m’a appelé le jour de la naissance de sa fille pour savoir « qu’est-ce je dois faire ? ». J’avais 22 ans et aucune idée de la réponse ! C’est tellement représentatif du rôle qu’on a auprès de nos clients. On est souvent le seul interlocuteur du chef d’entreprise qui ne comprend pas toujours où s’arrête notre champ de compétences… Pour eux comptabilité = administratif. Ils nous font une grande confiance.
As-tu une anecdote avec les équipes à nous raconter ?
Pendant le séminaire annuel à Malte, on a tous prolongé la soirée à un bar de plage. J’étais étonnée que quasiment toute l’équipe soit restée si tard ! Certains ont même fait un bain de minuit…
Quel est ton meilleur souvenir chez L’Optimiste ?
Pour Noël 2021, on avait organisé un concours de déco entre nos bureaux. J’étais super enthousiaste jusqu’à ce que j’apprenne que certains avaient un père Noël gonflable géant ou une piste de ski articulée… Pour rivaliser, il a fallu innover : à mon grand bonheur l’équipe a adhéré à l’idée de se déguiser en sapin de Noël…
Quelle est la chanson qui te motive le matin ?
No stress – Laurent Wolf
Les autres membres de l’équipe
Audran Buffet
Audran BuffetCollaborateur comptable junior - L'Optimiste Rennes« Quand on veut on peut »Portrait Si tu avais un super-pouvoir, ce serait ? Me déplacer à la vitesse du son Quel est ton talent caché ? Faire du vélo sans les mains Ton film culte ? Intouchables Les...
Mindy Miredin
Mindy MiredinCollaboratrice comptable confirmée - l'Optimiste Rennes« La chance sourit aux audacieux. »Portrait Si tu avais un super-pouvoir, ce serait ? Voyager dans le temps. Quel est ton talent caché ? Faire de bons cocktails à base de Rhum 🍹. Ton film culte...
Joan GAUBAL-VATILINGON
Joan-Caroll Gaubal-VatilingonResponsable de mission - l'Optimiste Paris" Je ne lâche rien ! "Mon métier d'experte comptablePortrait Si tu avais un super-pouvoir, ce serait ? La télépathie Quel est ton talent caché ? Écrire à l’envers Ton film culte ? Free Willy Tes...